B1. Qui est protégé par la MLC, 2006? B2. La MLC, 2006, s’applique-t-elle au personnel hôtelier et au personnel chargé des divertissements? B3. La MLC, 2006, s’applique-t-elle aux apprentis ou élèves des métiers et professions maritimes? B4. Quels sont les navires à l’égard desquels la MLC, 2006, s’applique? B5. Quand un navire est-il considéré comme étant «normalement affecté à des activités commerciales»? B6. Qu’entend-on par «eaux abritées», etc.? B7. Un pays qui ratifie la MLC, 2006, peut-il prévoir des dérogations à certaines des dispositions de cet instrument? B8. Existe-t-il une limite générale de tonnage pour l’application de la MLC, 2006? B9. La MLC, 2006, s’applique-t-elle à l’égard des navires n’effectuant pas de voyages internationaux? B10. Les navires déjà construits au moment où un pays ratifie la MLC, 2006, sont-ils exclus? B11. La MLC, 2006, s’applique-t-elle à l’égard des navires d’une jauge brute inférieure à 200? B12. La MLC, 2006, s’applique-t-elle à l’égard des plateformes d’extraction des ressources en haute mer ou des structures analogues? B13. La MLC, 2006, s’applique-t-elle à l’égard des yachts? B14. Qui est l’armateur au regard de la MLC, 2006? B15. Comment une autorité nationale peut-elle parvenir à une conclusion s’il n’existe pas d’organisation nationale d’armateurs ou de gens de mer?